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étudiant
étudiant (n.m.)
1.personne qui s'inscrit ou est inscrite dans une classe ou un programme d'études
2.étudiant (ou ancien étudiant) d'un collège ou d'une université
étudiant (adj.)
1.qui se rapporte aux étudiants.
étudier (v. intr.)
1.faire des études; se mettre à l'étude.
2.être étudiant ; suivre un programme d'études ; être inscrit dans un institut d'apprentissage "êtudier à Supelec"
étudier (v. trans.)
1.chercher à acquérir la connaissance de.
2.examiner, évaluer avant d'agir.
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⇨ definition of étudiant (Littré)
⇨ definition of Wikipedia
étudiant (adj.)
étudiant (n.m.)
étudier (v.)
analyser, apprendre, approfondir, ausculter, bûcher, chercher, chiader, compasser, composer, considérer, creuser, critiquer, délibérer, élaborer, examiner, expérimenter, explorer, faire, fouiller, ggg, inspecter, interroger, méditer, mûrir, observer, penser, peser, philosopher, piocher, potasser, préméditer, préparer, projeter, prospecter, raisonner, rechercher, réfléchir, regarder, repasser, répéter, s'appliquer, s'enquérir, s'exercer, s'initier, s'instruire, s'intéresser, s'occuper, scruter, se pencher, sonder, tâter, traiter, travailler, visiter, voir
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See also
étudiant (adj.)
étudier (v. trans.)
↘ étude
⇨ (d')étudiant • chambre d'étudiant • chanson d'étudiant • d'étudiant • mouvement étudiant • résidence d'étudiant • Étudiant dentisterie • Étudiant médecine • Étudiant pharmacie • Étudiant profession médicale ou paramédicale • Étudiant propédeutique médecine • étudiant Erasmus • étudiant dans une université • étudiant de deuxième ou troisième cycle • étudiant de la Bible • étudiant de seconde année • étudiant du premier cycle • étudiant du troisième cycle • étudiant en droit • étudiant en médecine • étudiant qui abandonne ses études • étudiant étranger
⇨ Baptême (folklore étudiant) • Bases fondamentales du syndicalisme étudiant • Chronologie du mouvement étudiant français • Chronologie du mouvement étudiant international avant la Grande Guerre • De la misère en milieu étudiant • Festival international du court-métrage étudiant de Cergy-Pontoise • Festival international étudiant à Trondheim • Fédération québécoise du sport étudiant • Groupement étudiant national d'enseignement aux personnes incarcérées • Guide de l'étudiant autonome • L'Étudiant • L'Étudiant autonome • L'Étudiant français • L'Étudiant noir • L'Étudiant étranger • Le Figaro étudiant • Logement étudiant en France • Mon étudiant • Mouvement étudiant • Mutualisme étudiant en France • Parlement étudiant du Québec • Pèlerinage étudiant à Chartres • Québec étudiant sans frontières • Rassemblement étudiant de droite • Regroupement étudiant des facultés d'administration de l'Est du Canada • Renouveau étudiant • Régime de sécurité sociale étudiant • SUD Étudiant • Syndicat étudiant • Syndicat étudiant unitaire et laïque • Syndrome de l'étudiant en médecine • Tahar l'étudiant • Union des étudiant-e-s de Suisse • Vice-président étudiant • Étudiant de la saison de la Ligue canadienne de hockey • Étudiant en France
étudier (v. intr.)
étudier (v. pron.) [se+V]
être attentif, prêter attention[Classe]
étudier (v. tr.) [V+comp]
faire l'analyse de (qqch ou qqn)[Classe]
réfléchir à une question[Classe]
étudier (verbe)
étudier (verbe)
étude, examen - analyseur - analyse - examen - analyste[Dérivé]
étudier (verbe)
acquérir la connaissance de[Classe]
jouer de la musique[DomainRegistre]
étudier (verbe)
étude - champ, discipline, matière - lecture attentive[Dérivé]
Le Littré (1880)
Celui qui étudie.
• Je commence par mettre aux pieds de Votre Majesté la reconnaissance du jeune étudiant qu'elle a bien voulu honorer de ses bontés (D'ALEMB. Lett. au roi de Pr. 26 oct. 1761)
Particulièrement, celui qui étudie dans une université, et, en France, dans une faculté. Il y a peu d'étudiants à ce cours. Étudiant en droit.
Au féminin, étudiante, dans une espèce d'argot, grisette du quartier latin. Commis et grisettes, étudiants et étudiantes affluent dans ce bal.
ÉTYMOLOGIE
Étudier ; provenç. estudian ; espagn. estudiante ; portug. estudante ; ital. studiante.
1. V. n. Appliquer son esprit à l'étude des sciences, des lettres, etc. Étudier en droit, en médecine.
• Il me semble qu'on pourrait tirer de là que M. d'Avranches [Huet] est peut-être de tous les hommes qu'il y eut jamais celui qui a le plus étudié (D'OLIVET Hist. Acad. t. II, p. 402, dans POUGENS)
• Il eut de si fréquentes maladies pendant son enfance que ses parents n'osèrent le presser d'étudier (MAIRAN Éloges, abbé de Molières.)
• On doit étudier autant pour se former l'esprit que pour apprendre (DU MARSAIS. Oeuvres, t. I, p. 32)
• Il faut étudier pour s'instruire. Mais comment faut-il étudier ? c'est une chose qu'on ignore assez communément (CONDIL. Lang. calc. I, 12)
Étudier ensemble, être élevés dans le même collége, dans la même maison d'éducation.
Faire étudier, faire faire à un enfant le cours des classes.
• J'enrage que mon père et ma mère ne m'aient pas fait étudier dans toutes les sciences quand j'étais jeune (MOL. B. gent. II, 6)
• L'on trouva moyen de me faire étudier (J. J. ROUSS. Ém. IV)
2. Étudier à, archaïsme resté en usage au commencement du XVIIe siècle.
• Et puis quand je n'alléguerais autre chose, sinon que si j'ai étudié aux bonnes lettres pour me rendre capable de la vertu, si je suis homme de bien, je rends à mon père en son bienfait même plus que je n'ai reçu de lui (MALH. Le traité des bienf. de Sénèque, III, 31)
• J'avais un peu étudié, étant plus jeune, entre les parties de la philosophie, à la logique, et, entre les mathématiques, à l'analyse des géomètres et à l'algèbre (DESC. Méth. II, 6)
• Plus un homme à lui-même étudie à mourir, Plus il commence à vivre à l'auteur de son être (CORN. Imit. II, 12)
• Je m'imaginais que vous avez quelque pensée d'étudier à la magie (MÉRÉ Oeuvres posth. t. II, p. 360)
• Vous n'étudiez plus qu'à bien vivre (MÉRÉ ib. p. 260)
3. V. a. S'appliquer à apprendre une science, un art, à comprendre un auteur, à bien connaître une chose. Étudier les mathématiques, le grec, le dessin, l'agriculture.
4. Tâcher de fixer dans sa mémoire, d'apprendre par coeur. Étudier un rôle, un morceau de musique. Étudier ses leçons.
5. Méditer, préparer. Étudier un discours, un compliment.
On dit dans le même sens il fait des contes plaisants, mais il les étudie.
Absolument. S'exercer sur un instrument de musique, piano, violon, etc. Cette pianiste étudie six heures par jour.
6. Terme d'ingénieur. Étudier un projet, en vérifier les moyens d'exécution et la dépense.
Les architectes disent dans le même sens étudier un plan.
7. Terme de peinture et de sculpture. Étudier une draperie, une pose, s'assurer de leur effet avant l'exécution définitive.
Étudier un modèle, en examiner soigneusement toutes les qualités.
Il se dit dans le même sens en littérature.
• Je suis bien persuadé que de tous les modèles celui que Massillon avait le plus étudié, c'était Racine (MARMONTEL Élém. litt. Oeuv. t. v, p. 82, dans POUGENS)
8. Examiner attentivement. Étudier les phénomènes de l'électricité, les phases d'une maladie.
Observer avec soin l'humeur, les habitudes, les inclinations des personnes.
• Votre homme arrive.... je l'ai étudié une bonne grosse demi-heure, et je le sais déjà par coeur (MOL. Pourc. I, 4)
• J'étudiai leur coeur, je flattai leurs caprices (RAC. Athal. III, 2)
• Étudiez nos moeurs avant de les blâmer (VOLT. Alz. IV, 2)
• Comme ils [les affranchis] ont étudié les faiblesses de leur maître et non pas ses vertus (MONTESQ. Esp. XV, 19)
Étudier un terrain, en examiner les diverses parties pour l'objet qu'on se propose.
Fig. Étudier le terrain, chercher à connaître à fond les choses et les hommes.
Il faut étudier le moment favorable, l'épier afin de le saisir et d'en profiter.
9. Feindre.
• Cent fois je me révolte et cent fois je succombe ; Tant le calme forcé que j'étudie en vain, Près d'un si rare objet s'évanouit soudain (CORN. Pulch. II, 1)
10. S'étudier, v. réfl. Être étudié. Le grec s'étudie moins aujourd'hui qu'autrefois.
11. Faire étude de soi-même.
• Il se juge en autrui, se tâte, s'étudie (CORN. Pomp. III, 1)
• Je veux exprimer ma pensée, les paroles convenables me sortent aussitôt de la bouche, sans que je sache aucun des mouvements que doivent faire, pour les former, la langue ou les lèvres, encore moins ceux du cerveau, du poumon et de la trachée-artère ; puisque je ne sais pas même naturellement si j'ai de telles parties et que j'ai eu besoin de m'étudier moi-même pour le savoir (BOSSUET Connaiss. III, 12)
• Celui qui se sera étudié lui-même sera bien avancé dans la connaissance des autres (DIDEROT Règne de Claude et de Nér. I, § 125)
12. S'étudier, s'appliquer, s'exercer, avec à et le verbe à l'infinitif.
• Sa rigueur s'étudie assez à m'accabler (TH. CORN. Essex, IV, 5)
• Il s'étudiait à reconnaître les talents ; il les encourageait, les aidait par des attentions particulières (FONTEN. Boerhaave.)
• Plus sa place [de Colbert] l'élevait au-dessus d'eux, plus il s'étudiait à leur témoigner qu'avec eux il n'était que leur confrère ; il leur donnait des fêtes dans sa belle maison de Sceaux (D'OLIVET Hist. Acad. t. II, p. 208, dans POUGENS)
Il se dit aussi avec un substantif.
• Plus une âme est humiliée, Plus elle s'est étudiée à ce noble ravalement (CORN. Imit. III, 43)
• Un personnage grave ne s'étudie point à une si extravagante rhétorique (BAYLE Dict. crit. art. Arodon, rem. A)
Pascal a construit s'étudier avec pour, construction que rien de grammatical n'interdit.
• L'on s'étudie tous les jours pour trouver les moyens (PASC. dans COUSIN)
Bossuet a mis s'étudier de.
• Une idée intérieure à laquelle je m'étudie de me conformer (BOSSUET Connaiss. v, 5)
C'est peut-être pour éviter deux d, compléments, l'un de s'étudier, l'autre de se conformer, qu'on aurait si on suivait la construction ordinaire : à laquelle je m'étudie à me conformer. D'ailleurs, c'est un archaïsme que la grammaire ne repousse en aucune façon (voyez des exemples dans l'historique.)
HISTORIQUE
XIVe s.— Mais j'ai estudié au livre de Jason.... (Guesclin, 8960)— Aucun pourroit dire que ceste science n'est pas si necessaire, car au temps passé plusieurs roys et princesses ont très bien gouverné qui oncques n'estudierent politicques (ORESME Prol.)
XVe s.— Vous devez savoir que grand' murmuration estoit entre les clercs de l'université de ces nouvelles, et cessoient de lire et d'estudier ; et n'avoient puissance ni affection de rien faire.... (FROISS. III, IV, 10)— Ainsi le roi d'Angleterre et son conseil estudioient nuit et jour à faire engins et instrumens pour ceux de Calais mieux oppresser et contraindre (FROISS. I, I, 309)
XVIe s.— Hà, malheureux, vous vous estudiez à vous mocquer de.... (MAROT IV, 251)— Quiconque s'estudie bien atentifvement, trouve en soy.... (MONT. I, 7)— Il avoit en sa teste une harangue estudiée, mais.... (MONT. IV, 88)— Les aultres s'estudient à eslancer et guinder leur esprit (MONT. III, 279)— Lycurgus ne s'estudia de rendre les siens belliqueux pour faire oultrage aux autres (AMYOT Lyc. et Numa comp. 3)— Il estudia tousjours aux sciences jusques à ce que Sylla fut demouré vaincueur (AMYOT Cic. 3)— Il se remeit de rechef à estudier en rhetorique (AMYOT ib. 5)— Il s'estudioit à dire tousjours quelque chose de nouveau à la louange de luy et de ce qu'il faisoit (AMYOT ib. 51)
ÉTYMOLOGIE
Wallon, sitûdî ; provenç. et espagn. estudiar ; portug. estudar ; ital. studiare ; du lat. studium, étude.
Wikipedia
Étudiant (au féminin étudiante) est un mot dérivé du latin studere qui signifie « s'appliquer à apprendre quelque chose ». Cependant, le terme ne s'applique pas à toute personne qui apprend. On le réserve généralement aux personnes intégrées dans un cursus scolaire.
Dans de nombreux pays, notamment francophones, l'usage du mot étudiant est encore plus restreint. Le plus couramment, il désigne les personnes engagées dans un cursus d'enseignement supérieur. Afin d’être exhaustif, il serait plus juste de l’associer à toute personne suivant un cursus de formation initiale post-secondaire (relevant ou non de l’enseignement supérieur). On le distingue ainsi de l'écolier, du collégien, du lycéen ou encore de l'apprenti.
On peut donc faire cette distinction fondamentale dans le monde de l'enseignement entre l'écolier qui fréquente l'enseignement primaire ou secondaire, et l'étudiant qui fréquente un établissement d'enseignement supérieur ou post-secondaire.
Dans la très grande majorité des états, la scolarisation est obligatoire jusqu'à un âge fixé par la loi (généralement entre 15 et 18 ans), par conséquent la quasi-totalité des personnes ont un jour la qualité d'élève ou d'étudiant.
Divers pays, notamment en Amérique latine, célèbrent une Journée de l'étudiant (es). Épisodiquement, le plus souvent en novembre, est marquée une Journée internationale de l'étudiant (en).
Sommaire |
Il n'existe pas de statut international de l'étudiant. Chaque État fixe la façon dont il gère cette population. Cependant, certains organismes transnationaux mettent en place certains traits communs. Il en est ainsi de l'Association ISIC, adossée à l'UNESCO, qui délivre des cartes ISIC (International Student Identity Card) qui sont reconnues dans la quasi-totalité des pays comme un justificatif valable du statut d'étudiant.
Certaines organisations étudiantes ont développé des chartes sur le statut de l'étudiant en définissant ses droits et ses devoirs. Le premier cas est en France en 1946 avec la Charte de Grenoble créée par l'UNEF, puis cette idée est reprise la même à Prague par l'Union Internationale des Étudiants. Ensuite à Beyrouth, l'union nationale des étudiants des pays arabes crée une charte s'en inspirant largement.
Selon les pays, les établissements d’enseignement supérieur peuvent avoir différents noms : Université ou Faculté dans les États francophones, Collège dans les États anglo-saxons, École pour les structures d'enseignement privées ou spécialisées (Écoles d’ingénieur et de commerce notamment). Certaines formations supérieures peuvent être dispensées dans les établissements d'enseignement secondaire, comme les sections de technicien supérieur (BTS) ou les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) en France.
Enfin, il existe un certain nombre de cursus post-secondaires qui ne rélèvent pas de l’enseignement supérieur puisqu'ils sont accessibles sans avoir obtenu le bac, mais uniquement sur des conditions de niveau et/ou d'âge ; par exemple, les écoles de formation artistique, ou les écoles de santé dont le niveau d'entrée est inférieur au bac ou sans référence par rapport à celui-ci. Le ministère de l’éducation nationale définit comme critère de recensement dans la base centrale des établissements (BCE) le fait que la scolarité soit obligatoire et que le cursus scolaire soit annuel équivalent temps plein (c'est-à-dire correspondant à une ou plusieurs années scolaires et dont les heures d'enseignement plus le travail personnel demandé correspondent à une formation à temps plein, estimée à 600 H par an).
Les conditions d'accès à l'enseignement supérieur diffèrent selon les états. La majorité des systèmes exigent un diplôme préalable : baccalauréat en France, A-level en Angleterre ou encore Abitur en Allemagne. Mais la sélection à l'entrée des établissements varie beaucoup.
En France, l'accès à l'université est de droit pour les titulaires du baccalauréat ou de DAEU. Il n'y a de sélection, à l'exception de certaines filières médicales, et de l'université de Paris-Dauphine qui a reçu une autorisation spéciale par décret. L'accès est aussi ouvert au Québec, et dans la majorité des filières en Belgique. Citons tout de même l'existence d'un examen d'entrée pour les études de médecine et dentisterie en Belgique néerlandophone, qui est compensé par un numerus clausus en Belgique francophone, sans oublier l'examen d'admission aux études d'ingénieur civil, qui n'est plus dispensé que dans la partie francophone du pays.
Par contre, dans les états anglo-saxons, et particulièrement au Royaume-Uni et aux États-Unis, la sélection à l'entrée de l'enseignement supérieur est importante. Une sélection a aussi lieu, dans la plupart des pays, à l'entrée des grandes écoles, c'est-à-dire d'institutions publiques ou privées d'enseignement qui n'ont pas le statut d'université. Il existe trois principaux systèmes de sélection :
Le coût de l'accès aux études peut aussi constituer une barrière. S'il est modéré dans les universités française et au Québec, il est très élevé aux États-Unis, ainsi que dans certains établissements d'enseignement supérieur privés. Ceci oblige parfois les familles à épargner de nombreuses années pour permettre l'accès à l'enseignement supérieur à leurs enfants. Des mécanismes d'aide ont cependant été développés, deux prédominent : les bourses, d'initiative publique ou privée, généralement attribuées sur des critères de mérite ; et les prêts aux étudiants remboursables à la fin des études, voire non-remboursables (sous conditions), au taux d'intérêt modique ou inexistant. Certaines écoles enfin rémunèrent leurs étudiants.
En 2008, les universités aux États-Unis ont accueilli avec 671 616 élèves 21 % des trois millions d'étudiants étrangers recensés dans le monde. Le Royaume-Uni, deuxième, en accueille 13 % et la France, troisième, 9 %, suivie de près par l'Allemagne.
Aux États-Unis, 3,5 % des étudiants sont étrangers, 16,3 % au Royaume-Uni et 22,5 % en Australie[1].
Les soirées étudiantes réunissent les étudiants d'un établissement, d'un campus ou d'une ville pour faire la fête. Cette pratique est répandue dans la majorité des États. Elles se déroulent généralement en semaine ; en France, le jour fétiche est le jeudi. Parmi ces nombreuses fêtes, certaines sont particulières, ce sont les soirées d'intégration qui marquent l'arrivée d'une nouvelle promotion d'étudiants. Si la fête dépasse une soirée on pourra parler alors de journée d'intégration, voire de week-end, de semaine ou de stage d'intégration.
En Belgique, les fêtes étudiantes sont très répandues et constituent un folklore à part entière. Plus spécifiquement appelées guindailles, il s'en tient dans certaines villes plusieurs tous les soirs, comme à Louvain-la-Neuve. Les étudiants disposent de leurs propres salles, généralement conçues pour supporter la saleté et résister aux vandalismes. Citons le Bunker à Namur ou la Casa et le Coq Hardi (parmi une dizaine d'autres) à Louvain-la-Neuve.
Le bizutage marque en général le début de l'année et vise à placer les étudiants nouvellement arrivés (appelés bizuts) dans des situations cocasses et humoristiques. Le but est généralement de créer des liens de solidarité entre les membres de la nouvelle promotion. Ceci exacerbe l'esprit de corps. Cependant de nombreux dérapages, qui ne conduisaient qu'à une humiliation gratuite du bizut, ont amené certains pays à l'interdire.
En France, par exemple, le code pénal qui définit le bizutage comme :
« le fait pour une personne d'amener autrui, contre son gré ou non, à subir ou à commettre des actes humiliants ou dégradants lors de manifestations ou de réunions liées aux milieux scolaire et socio-éducatif »
L'article 225-16-1 du Code pénal français le punit de peines pouvant atteindre six mois d'emprisonnement et 7 500 euros d'amende.
En Belgique, le bizutage est appelé Baptême, il est toléré et encadré par les autorités académiques. Autour de ce Baptême gravite tout un folklore étudiant variable selon les établissements.
La pratique du bizutage n'est pas réservée aux étudiants : elle est fréquente dans les corps d'armée, et occasionnelle dans les entreprises.
On donne différents noms à l'étudiant nouvellement promu : bizut, bleu, freshman, newbie...
Les étudiants sont aussi connus pour leur activisme syndical et politique.
Ils ont été à l'origine et ont contribué à de nombreux mouvements de protestation. On peut notamment citer :
Il peut y avoir différents systèmes qui dissocient les étudiants des autres catégories socio-professionnelles. Ainsi, en France, les étudiants disposent d'un régime de sécurité sociale qui leur est propre.
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